Le Prix Dauphine pour l’Art Contemporain 2023 : Célébration d’une décennie de promotion de talents artistiques émergents !
PARIS — Alors que le printemps cède la place à l’été dans la Ville Lumière, la scène de l’art contemporain bourdonne d’anticipation pour le dixième anniversaire du Prix Dauphine pour l’Art Contemporain 2023, un événement prestigieux qui est devenu une pierre angulaire pour soutenir la créativité émergente à Paris1.
Depuis sa création en 2014, le Prix Dauphine a gagné en stature et en reconnaissance, avec des thèmes comme “La Frontière”, “Métamorphose”, “Tandem”, et “Immersion” captivant l’imagination des artistes et des publics. Cette année, la compétition a adopté un thème qui fait réfléchir : “Monstrueux : Le merveilleux à rebours”, permettant aux artistes et aux curateurs d’explorer le concept sous plusieurs angles, de la définition littérale du monstre au non-merveilleux, au non-normal et au non-accepté1.
L’édition 2023 de la compétition a attiré un jury de haut niveau, comprenant la critique d’art et créatrice de contenu Margaux Brugvin, le directeur de galerie Vincent Sator, la commissaire, auteure et historienne de l’art Taous Dahmani, l’artiste Dora Jeridi, et François Quintin de la Direction Générale de la Création Artistique. Ces cinq personnalités auront la tâche de sélectionner le duo gagnant pour le “Prix du Jury”1.
Comme toujours, la compétition culminera avec une exposition éblouissante au cœur de Paris. La galerie du Crous de Paris, située dans le 6ème arrondissement, vibrante de culture, accueillera l’exposition du 8 au 17 juin 2023. Pendant cette période, le public est invité à contempler et apprécier le talent de la jeune création participant au concours1.
La sélection des binômes pour le Prix Dauphine 2023 promet une diversité d’approches et de styles. Parmi eux, Aurélia Casse et Fanny Trachon adoptent une approche féministe et collaborative, présentant un travail photographique autour de “l’artificialité de l’image, la monstruosité de l’identité et l’ambiguïté des rapports féminins” ; Lou Le Forban et Thomas Maestro ont imaginé pour l’exposition une installation in-situ permettant d’exposer un film réalisé par Lou pour l’occasion ; et Alexandre Mugnier et Amélie Boulin, qui ont un intérêt commun pour l’altération et la ruine, notamment dans l’image numérique, présentent un travail photographique pour le Prix Dauphine1.